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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 09:25

 

 
 

Chers ami, Chère amie,

Nous étions 200 000, il y a quelques heures à peine sur la Place du Trocadéro, à Paris

et des millions, dans toutes les villes de France, dans nos campagnes,

dans nos territoires d’outre-mer et à l’étranger, unis par l’élan de cette célébration du travail.

Sur l’esplanade des Droits de l’homme, j’ai vu le visage radieux de la France.

Nous sommes la France qui sait que le travail est au cœur de nos valeurs

et au cœur de notre avenir.

 

              100 photos pour un 1er mai historique !

http://www.facebook.com/media/set/?set=a.219930764784666.43687.100003032333114&type=3

 



 
     
 
Video: discours sur le travail
- Twitter   Facebook -
 
     
 

Cet avenir, en ce 1er mai, je vous propose de le bâtir sur un nouveau modèle français

fondé sur le travail, le mérite, l’effort, la responsabilité et sur la force de notre héritage.

Ce projet est celui d’une grande nation française rassemblée, fière de ses valeurs et de son identité.

Une nation qui conserve la maîtrise de son destin et l’ambition de grands projets.

Tel était mon message aujourd’hui, dans le discours que je vous ai adressé

et que vous pouvez regarder ci-dessus.

Il ne reste que cinq jours pour transformer cet élan en victoire

et permettre à ce grand projet de se réaliser.

Je compte sur vous dans les défis à venir. 

Notre destin est entre nos mains. Mobilisons-nous pour convaincre, pour voter et pour gagner !

 
     
 

La France forte se construit avec vous.
La France forte c’est vous.

Nicolas Sarkozy

 
     
 
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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 22:19

J30-info.jpg

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 21:21

 

Les Français voulaient 3 débats

 

>>> Voir le sondage

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 16:19

PUBLIÉ LE 29/04/2012 06:43 | INTERVIEW JEAN-PIERRE BÉDÉÏ ET JEAN-CLAUDE SOULÉRY

Nicolas Sarkozy :« Mon discours politique n'a pas varié entre les deux tours »

Interview de Nicolas Sarkozy avant son meeting à Toulouse

Nicolas Sarkozy :« Mon discours politique n'a pas varié entre les deux tours »
Nicolas Sarkozy :« Mon discours politique n'a pas varié entre les deux tours »
Nicolas Sarkozy :« Mon discours politique n'a pas varié entre les deux tours »

Pour un de vos derniers grands meetings, vous venez donc à Toulouse, une ville où vous avez recueilli 22,84 % des voix, bien en deçà de votre score national. N'est-ce pas téméraire de venir ici, dans une région qui reste une « terre de mission » pour la droite ?

Votre question est quand même extraordinaire ! Un jour, on me dit que je chasse sur les terres du Front National, le lendemain que je ne pourrais pas venir à Toulouse au prétexte que Toulouse serait une ville de gauche ! Permettez-moi de vous rappeler deux choses. La première, c'est qu'en France aucune force politique n'est propriétaire d'une ville ou d'une région et encore moins de ses électeurs. Pas plus le Parti Socialiste que le Front National. La seconde, c'est que dire que Toulouse est une ville de gauche relève de la plaisanterie. « La Dépêche du Midi » aurait-elle oublié que Pierre puis Dominique Baudis ont été maires de cette ville pendant près de trente ans et que, si Dominique Baudis n'avait pas souhaité servir la République autrement, il serait encore au Capitole ? Comme pour chacun de mes déplacements, je viens à Toulouse pour parler sans intermédiaire aux Français. Aujourd'hui, à sept jours du second tour, à travers sept rassemblements régionaux organisés en France, cette réunion publique multidiffusée exceptionnelle me permettra donc de m'adresser, au-delà des Toulousains, à d'autres Français qui souhaiteront se joindre à nous. Ce sera l'occasion de lancer un appel à la mobilisation générale pour le grand rassemblement du 1er Mai, Place du Trocadéro, à l'occasion de la fête du travail.

Les sondages ne sont toujours pas bons pour votre candidature. Une semaine et un face-à-face télévisé seront-ils suffisants pour faire mentir les sondages ? Êtes-vous certain - comme la rumeur vous l'a fait dire - que vous allez « exploser » votre adversaire lors de ce fameux débat ?

Les sondages et les sondeurs sont un peu désorientés en ce moment. Il y a quelques mois, on me prêtait à peine 20 % et l'on s'interrogeait de savoir si j'allais être présent au second tour… Or, malgré un Front National qui atteint 18 %, j'ai recueilli plus de 27 % des voix au premier tour de l'élection présidentielle. Permettez-moi de rappeler que lorsque, en 2002, Jean-Marie Le Pen avait atteint près de 17 %, le Président sortant de l'époque était à 19 %. Avec un total de 43 %, jamais, sauf peut-être en 1995, les forces de gauche n'ont atteint un score global aussi faible. Le candidat socialiste arrive à peine à totaliser 2 % de plus que Ségolène Royal en 2007. Est-ce cela la vague de gauche qui devait tout emporter sur son passage dès le 1er tour ? Quant au débat, je n'ai évidemment jamais tenu un tel propos, ni même eu une telle pensée. Parce que ce qui compte dans le débat, c'est la clarté des choix que l'un et l'autre nous proposons aux Français.

Dans cette campagne de second tour il ne vous est pas reproché de vous adresser aux électeurs du FN, mais de reprendre à votre compte certaines de ses thèses comme la dénonciation des élites, du système, une certaine approche de l'immigration comme l'a signifié François Bayrou. N'êtes-vous pas en train de vous tromper de discours et d'arguments en direction des électeurs du FN ? Votre langage est-il compatible avec l'électorat de Bayrou ?

Je n'ai pas changé un mot de mon discours politique entre le 1er et le second tour. Je ne m'adresse ni à la gauche, ni à la droite, ni au centre mais aux Français… J'ai dit à Villepinte devant plus de 80 000 personnes que je ne voulais plus d'une Europe passoire et que j'exigerai, au nom de la France, une renégociation des accords de Schengen pour que l'Europe se dote d'une véritable protection de ses frontières. La notion de frontière est aujourd'hui un élément central du débat politique car la pression de la mondialisation exige que nous nous interrogions sur la maîtrise des flux migratoires, mais aussi sur l'efficacité des frontières économiques pour la protection de nos agriculteurs, de nos producteurs, de nos entrepreneurs, de nos emplois. Sur les questions d'immigration, je n'ai pas varié dans mes positions. J'ai dit avant le 1er tour que nous devions diminuer de moitié l'immigration car notre système d'intégration ne fonctionne plus. Lorsque je dis que je diviserai par deux le flux migratoire en France pour les cinq années qui viennent, ce n'est pas pour renoncer à une France ouverte, c'est simplement pour accueillir dignement ceux qui souhaitent venir vivre dans notre pays. De même, je ne cesse d'alerter les Français sur le risque communautariste que le vote des immigrés, voulu par le candidat socialiste, ferait courir au pays. Les centristes, qui me soutiennent depuis le début de cette campagne, partagent cette approche car ils ne veulent pas voir diluer la citoyenneté française.

Vous dites que François Mitterrand a mis deux ans pour « tourner casaque » et que François Hollande mettra deux jours pour en faire autant. Vous-même n'avez vous pas tourné casaque sur le bouclier fiscal ou, précisément, sur le vote des étrangers auquel vous étiez favorable en 2008 ?

Non ! j'ai dit que là où il avait fallu deux ans à François Mitterrand pour réaliser que la politique insensée de creusement des déficits publics engagée en 1981 menait le pays à la ruine, il ne faudrait aujourd'hui que deux jours pour que les marchés financiers sanctionnent les options politiques proposées par le candidat socialiste. Pourquoi ? Parce que M. Hollande ne propose aucune mesure de réduction des dépenses publiques, mais au contraire une folie dépensière comme le recrutement à vie de 65000 fonctionnaires supplémentaires, le détricotage de la réforme des retraites, l'arrêt de la réforme de l'Etat et des mesures d'économie qui vont avec, l'augmentation des dépenses des collectivités locales. Aucun pays au monde ne propose cela. Que va-t-il se passer ? Alors que nous empruntons au taux historiquement bas de moins de 3 %, les taux vont passer au même niveau que ceux de l'Espagne et nous allons payer encore plus d'intérêts. Nous aurons le sort de la Grèce ou de l'Espagne et au final, pour nous en sortir, le seul impôt des Français. Pour retrouver notre souveraineté par rapport aux marchés, il faut réduire notre dette. Il n'y a pas un seul pays en Europe qui ne l'a pas compris.

Au fur et à mesure qu'approche le 6 mai cette campagne se durcit. Certains députés UMP comme M. Luca commettent quelques dérapages lamentables. Est-ce que vous croyez qu'en politique on peut tout dire pour gagner ? Autrement dit : la fin justifie-t-elle les moyens ?

Connaissez-vous un président de la République qui a été plus insulté que moi ? On m'a traité de « sale type », « d'anormal » puis, au choix selon les humeurs des uns et des autres, j'ai été comparé à Madoff, à Pétain, à Franco et enfin à Hitler ! J'attends toujours que François Hollande s'excuse de ces propos lorsqu'il les a lui-même tenus ou les condamne lorsqu'ils l'ont été par ses amis. Quant aux propos auxquels vous faites allusion, ils sont parfaitement déplacés. Pour ma part, j'ai une autre ambition pour mon pays. Loin des insultes de la gauche ou des agitations médiatiques, j'essaie de parler au peuple français des défis que nous devons relever dans le contexte de crise que nous connaissons. C'est pour cela que je fais une campagne en vérité, que je refuse les facilités ou de passer sous silence des évidences.

En campagne électorale, il est difficile de reconnaître le plus petit mérite à son adversaire. Ça passerait pour une concession. Pour autant, n'y a-t-il pas, dans le projet de François Hollande, au moins une mesure que vous jugez bonne pour la France ?

Je constate avec satisfaction que le candidat socialiste a affirmé qu'il ne reviendrait pas sur certaines réformes qu'il a pourtant violemment combattues en son temps, comme le service minimum en cas de grève, la réforme des universités, les investissements d'avenir et même, à sept jours du deuxième tour, l'interdiction de la burqa.

S'il y a un « vrai travail » - comme vous l'avez dit -, cela signifie-t-il qu'il y a de « faux » travailleurs ?

Non, j'ai voulu dire : une vraie fête du travail, c'est-à-dire un moment où nous puissions parler du travail aussi bien avec des travailleurs du public, sous statut, qu'avec des travailleurs du privé, plus exposés. Le travail n'est pas une idée dépassée. C'est la valeur cardinale qui doit nous permettre de renouer avec la croissance et la prospérité. Pendant trop d'années, nous n'avons cessé de diminuer la durée du travail quand tous les autres pays faisaient le choix de travailler davantage. Aujourd'hui encore nous payons le prix des erreurs historiques des gouvernements socialistes qui ont décidé la retraite à 60 ans et le passage aux 35 heures. Jamais on n'a vu un pays s'en sortir sans effort. La France ne s'en sortira que par le travail. Le travail est aussi une valeur sociétale. Travailler, se savoir utile, est indispensable à l'épanouissement de la personne. C'est pour cela que je pense qu'il faut se battre pour permettre aux chômeurs et aux personnes exclues du marché du travail de retrouver un emploi par la formation plutôt que de les laisser s'enfoncer dans l'assistanat.

En cas de victoire, choisirez-vous un Premier ministre dans la jeune garde de l'UMP ?

Face à l'ampleur des difficultés qui attendent la France et l'Europe, il faut à Matignon un homme ou une femme d'expérience.

Et en cas de défaite confirmez-vous que vous abandonnerez la politique ?

J'ai déjà répondu à votre question, j'ai la conviction qu'elle n'est pas d'actualité.

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 16:00

30 avr. 2012

Le Figaro

RICHARD HEUZÉ ROME


Italie: le nombre d'étrangers a triplé en dix ans

La pénisule frôle désormais le cap
des 60 millions d’habitants.

 L’italie compte trois fois plus d’immigrés qu’au début du siècle, mais la crise économique en aurait fait repartir en quelques mois un million vers leur pays. selon le recensement général de la population effectué depuis octobre 2011 par l’institut national de la statistique (Istat), la péninsule compte 59,5 millions d’habitants. C’est moins qu’en France (65,35 millions). Mais quand même 2,6 millions d’individus de plus par rapport au recensement précédent de 2001.

 J30 photo

 

MAURO SEMINARA/AFPDébarquement sur l’île italienne de Lampedusa de 760 réfugiés fuyant les combats en Libye le 19 avril 2011.

 

L’immigration est la cause principale de la croissance démographique (+ 4 % en dix ans) ( comme en France), la première après vingt ans de stagnation. Le nombre d’étrangers en situation régulière a triplé depuis 2001, passant de 1 334 000 en 2001 à 3 760 000. De 2,34 % de la population il y a dix ans, ils sont passés à 6,35 %. Le plus grand nombre d’immigrés se trouve dans quatre régions : Piémont, Lombardie, Toscane et Latium. Brescia, avec ses industries mécaniques et métallurgiques, est l’agglomération où leur densité est la plus forte (16 %).

Ce recensement ne révèle pas ce que sont devenus quelque 1300000 étrangers comptabilisés dans une étude officielle parue en septembre 2011 sous le titre : « Importance de la population étrangère résidant en Italie » . Ce même institut Istat, à l’origine de l’enquête, relevait alors que 4 570 000 étrangers étaient inscrits à l’état civil comme résidents permanents tandis que 397 000 bénéficiaient de permis de séjour temporaires pour venir travailler. « Mon impression est qu’un grand nombre sont depuis rentrés chez eux » , estime le professeur Gian Carlo Blangiardo, de l’institut démographique Ismu. Ce serait la conséquence directe de la crise, dans le bâtiment surtout.

« Pour bon nombre, le projet d’immigration s’est révélé un échec, faute de travail» , poursuit le professeur. Surtout des Polonais, dont le niveau de vie a augmenté dans leur pays, des Roumains et des Albanais. « Ajoutez à cela l’extrême mobilité de ces immigrés qui se déplacent sans cesse à la recherche d’un emploi. Et leur précarité croissante, qui les contraint à s’entasser à dix dans des logements exigus et à payer leur loyer au noir : ceux-là préfèrent ne pas se faire enregistrer, ce qui fausse le recensement » , estime Paolo Ciani, de la communauté Sant’egidio. Nombre de chefs de famille ont renvoyé leurs proches dans leur pays d’origine. Un tiers des étrangers manquant à l’appel seraient ainsi des femmes.

Quant aux jeunes Maghrébins qui ne considèrent pas l’italie comme une terre d’accueil, en majorité, ils poursuivent leur route vers le nord, la France ou l’Allemagne. C’est ainsi qu’on explique qu’aucun des quelque 40 000 Tunisiens débarqués clandestinement l’an dernier à Lampedusa n’a été rapatrié, comme il était pourtant prévu après six mois de séjour. La plupart ont franchi à frontière à Vintimille pour trouver refuge dans l’hexagone.

 

 

Tout laisse à penser qu’avec la récession qui s’installe en Italie et en Espagne une déferlante de Maghrébins menace la France.

 

VITE SARKOZY pour mettre fin à nos frontières passoires !

 

L'Espagne bientôt sous domination musulmane ?


http://www.youtube.com/watch_popup?v=pOq1gJzJ8cM

 

 

VITE SARKOZY pour sauver notre Nation !

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 15:22


 C’est Jean-François Kahn qui s’exprime :

 

.. Je n’aurais pas pu voter F. Hollande au premier tour de l’élection présidentielle.

 

Pour au moins deux bonnes raisons :

 

La première c’est que l’actualité récente a montré une fois de plus, une fois encore, à quel point, quand elle doit solder l’héritage de la droite néolibérale, comme en Grèce, au Portugal ou en Espagne, la social-démocratie, loin de renverser la table, finit par s’abandonner à toutes les démissions et à accepter toutes les soumissions. Or elle n’a pratiquement tiré aucune leçon de ses échecs enchaîne.

 

La seconde, c’est que dans Marianne, nous n’avons cessé de mettre en garde la gauche contre ses dénis et ses aveuglement, contre sa progressive relativisation de la centralité des valeurs républicaines, contre ce mépris petit-bourgeois du peuple concret que révèle son instrumentalisation obsessionnelle du concept de « populisme », destiné à clore le débat en diabolisant toutes les contradictions

Nous avons dit et répété, que cette posture de confort, largement cautionnée par la presse de gauche, apportait de véritables torrents au moulin de l’extrême droite ;

Qu’on ne résout pas les problèmes en les niant et en substituant aux duretés glaciales du réel les émois illusionnistes de son propre nombril.

 

Ne répétaient-ils pas en boucle, il y a encore trois semaines, que les questions de sécurité, d’immigration ou d’identité étaient devenues des questions secondaires et que le seul fait de les aborder valait soupçon de « dérive » comme ils disent.

.........

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 09:46
Être de droite en France n'est pas un délit 

 

LUCIEN LUNG/LE FIGARO

 Rachida Dati revendique fièrement son appartenance politique : « Je ne sais pas ce que veut dire “droitisation”. Être de droite en France n’est pas un délit contrairement à ce que voudraient nous faire croire certains médias et les socialistes ! Je suis de droite et profondément républicaine ! Je préfère le travail à l’assistanat, la sécurité au laxisme, la responsabilité à la victimisation… »

Revenant sur l’accusation de droitisation, l’ancienne garde des Sceaux défend fermement Nicolas Sarkozy : « Jamais il n’a fait d’accord avec le Front national. Sa vie politique le démontre. Mais Nicolas Sarkozy a cette force : celle de pouvoir parler à tous les Français sur tous les sujets, sans tabous. Cette force dérange la gauche qui n’en a jamais été capable. Prenez l’immigration : avant 2002, personne n’osait en parler. C’était la chasse gardée des extrêmes. Et à force de ne pas en parler, on a eu le 21 avril 2002. Nicolas Sarkozy a été le premier à lever ce tabou, en parlant de la nécessité de mieux maîtriser les flux migratoires afin de remédier à l’échec de la gauche en matière d’intégration.

Il ne dit rien de plus aujourd’hui : nous sommes en période de crise, nous devons accueillir moins d’étrangers pour mieux les accueillir. Ce n’est pas être raciste de dire et faire cela. »

Selon elle, les caricatures, « la supposée “extrême droitisation”, ce sont des calomnies colportées par une petite élite. La même qui n’a jamais supporté le parcours de Nicolas Sarkozy, sa vie, ses combats et sa détermination. C’est un des rares hommes politiques qui ne soit pas un homme d’appareil, contrairement à François Hollande, qui n’a connu dans sa vie que L’ENA et le PS. (…)


Nous refusons cette Europepassoire, tout autant que le laxisme en matière d’immigration. En période de crise, il faut poursuivre ce que fait Nicolas Sarkozy, depuis 2007, la réduction des déficits publics et de l’immigration légale. C’est le rang et la place de la France dans le monde qui sont plus que jamais en jeu aujourd’hui » .

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 09:32
  • 30 avr. 2012
  • Le Figaro
  • par Paul-henri du Limbert

Depuis le soir du premier tour, Nicolas Sarkozy ne passe rien au PS. Mais il faut bien reconnaître que le PS ne lui passe rien non plus, et que son attitude vis-à-vis du chef de l’état ne remonte pas au 22 avril. Cet entre-deux-tours sabre au clair était prévisible et il trouve son origine il y a cinq ans, presque jour pour jour, avec la victoire de Nicolas Sarkozy sur Ségolène Royal. Depuis cette date, aux yeux de la gauche, le chef de l’état est l’homme à abattre. L’usurpateur qu’il faudra éliminer à la première occasion venue. Nous y sommes. C’est comme si elle se vengeait de cinq ans de frustrations. Elle appelle donc à la rescousse, si l’on peut dire, Pétain, Laval, et peut-être pire encore puisqu’il reste une semaine avant le second tour et qu’elle a de l’imagination. On peut donc comprendre l’agacement de Nicolas Sarkozy. Lorsqu’en 2008 Martine Aubry l’avait traité de « Madoff », c’était le mettre au rayon des grands escrocs internationaux. D’autres formules, plus agressives les unes que les autres, ont jalonné quotidiennement, à gauche, le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Le présidentcandidat en conclut qu’il n’a pas à prendre de gants. Ni Valéry Giscard d’estaing ni Jacques Chirac n’ont eu droit à pareil traitement tout au long de leurs mandats. François Hollande a vite compris que la clé de la présidentielle, c’était précisément cet antisarkozysme virulent nourri par sa famille politique pendant cinq ans. Peu importe le flou des propositions, peu importent les contradictions, l’essentiel consiste à dénoncer l’homme Nicolas Sarkozy. Cette stratégie a permis au candidat PS de faire une grande économie d’imagination et de ne pas entrer dans le détail de la politique qu’il compte mener s’il gagnait dimanche prochain. Heureusement pour lui. Nicolas Sarkozy a moins d’une semaine pour convaincre l’opinion qu’une présidentielle n’est pas un référendum mais une bataille de projets. Capital, le débat télévisé de mercredi doit le lui permettre. On peut compter sur lui pour souligner les gigantesques interrogations que suscite le programme de François Hollande. Son rival ne pourra plus esquiver.

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 19:13

 

Nicolas Sarkozy nous dit ce qu'il a dans l"âme !

 

 

C'est en faisant respecter ses frontières que la Nation française préserve son mode de vie, ses valeurs

Lutter contre l'absence de frontières, c'est protéger nos agriculteurs, nos producteurs, nos entrepreneurs

C'est défendre, incarner et promouvoir notre langue, notre culture, notre histoire

Nous ne voulons pas que cet héritage millénaire explose à tout-va !


 

 "Mon projet, c'est de remettre les frontières au centre du débat politique." 

"L'Europe a trop cédé à un monde sans politique." 

"Je ne veux pas que la France s'isole alors que la France a vocation à mener l'Europe.   

Mais je veux des frontières respectées !" 

"Je veux une Europe qui protège et non qui expose." 

 "Effacer les frontières, et nous ne pourrons plus garantir les droits et faire respecter les devoirs." 

"Effacer les frontières, et c'est aussitôt l'apparition de multitudes de petites frontières ethniques et religieuses !"

 "La frontière permet de régler par le droit ce qui ne doit plus se régler par la force." 

"La frontière n'est pas un repliement ou un rejet.

C'est une limite, un repère, une clarification. c'est la démocratie."

elle est au coeur de l'immigration 

 "La Laïcité est une frontière qui protège les enfants,

les femmes, les familles, la République." 

"Tracer une frontière, ce n'est rien d'autre que le long travail de la civilisation." 

"Lorsqu'il n'y a plus de frontière, il n'y a plus de politique. Il n'y a plus de liberté." 

"Sans frontière, il n'y a pas de nation, pas d’État, pas de République, pas de civilisation

"La France a voulu l'Europe pour ne pas sortir de l'histoire.

Mais elle attend de l'Europe qu'elle protège la civilisation européenne"

"Je ne veux pas que la France sorte de l'histoire,

en tant que peuple, en tant que Nation, en tant que civilisation

La France ne doit pas se diluer dans la mondialisation

"Quand on nie l'importance de la Nation,

on ouvre la porte aux communautarismes et aux tribues."

"La Nation est d'abord le partage d'une identité collective.

La Nation a fait naître la République." 

 "Le patriotisme, c'est l'amour de sa patrie !

La Nation est le seul bien de ceux qui n'ont rien !" 

 "Mais nous avons trop laissé s'affaiblir la Nation.

Les pays qui gagnent aujourd'hui croient en l'esprit national ! 

 "Il nous faut organiser une multitude de résistances

qui font qu'on gardera notre mode de vie, notre culture, notre langue, notre cinéma."

"Nous avons le droit de défendre nos coutumes, nos pratiques, notre identité.

Nous avons le droit de choisir ce que nous mangeons,

la traçabilité est un droit, l'étiquetage est une liberté" 

 "Je veux que celui qui vient s'installer en France connaisse le Français et les valeurs de la République." 

"Je n'accepterai pas qu'il n'y ait aucune différence entre être français et ne pas l'être.

Je veux que l'on respecte nos différences"

"Je ne veux pas d'un monde où tout se vaut, sans repères." 

"J'appelle tous les Français à se rappeler ce à quoi peut aboutir le reniement des valeurs humanistes."

 "Nous sommes le pays de Victor Hugo, de Jeanne d'Arc, de De Gaulle !

Notre avenir ne peut pas être écrit avec de petites ambitions !"

"La France n'a pas le droit à l'erreur.

Elle ne peut pas dilapider un héritage de 20 siècles:

de travail, d'effort, de civilisation,

de la chrétienté , la révolution, les lumières, la résistance."

Nous voulons garder la France telle que nous l'avons recue.

 « Innovation, recherche, investissement, formation professionnelle, autorité, responsabilité :

"Je veux un nouveau modèle de croissance."

"Si nous voulons retrouver la maîtrise de notre destin,

nous devons retrouver la maîtrise de nos dépenses."

 "On ne fera la croissance en alourdissant le coût du travail, en créant 60 000 postes de fonctionnaires."

"Peuple de France, dans chaque famille,

vous tenez le destin de la France entre vos mains." 

Notre avenir doit être à l'image du glorieux passé

que nous ont laissé, légué nos parents, nos grands-parents

"C'est ensemble, peuple de France, que nous allons construire

le rassemblement immense du 6 mai !"

 "Nous ne serons pas forts en nous divisant en camps et en factions.

Il s'agit le 6 mai de faire gagner la France !" 


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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 14:48

Pour satisfaire son électorat F. Hollande affirme

qu’il embauchera 60 000 fonctionnaires.

 

C’est tout simplement IMPENSABLE

pour Jacques Attali.

 

Française, Français, écoutez le message d’alerte que nous délivre cet homme d’expérience, qui sait compter lui :

Aujourd’hui , quand on engage un fonctionnaire à 20 ans, il faudrait compter dans la dette son salaire jusqu’à 67 ans, puis sa retraite et, enfin la pension de réversion d’une épouse qui peut être plus jeune que lui.

 

Bref, il faut compter près d’un siècle d’engagement de l’état.

 

Attali affirme qu’il faudrait tout au contraire rompre avec l’emploi à vie, privilégier les promotions individuelles par rapport au sacro-saint point d’indice ou aux revalorisations catégorielles, aller vers une rémunération au mérite..

 

Française, Français, pensez à votre avenir, à celui de vos enfants, de vos petits enfants. Nicolas Sarkozy nous a évité le pire, il a commencé à redresser nos déficits, sa démarche pour réduire nos dépenses, notre dette, va dans le bon sens. Il faut lui accorder votre confiance, ne pas briser irrémédiablement le redressement de la France, de l’Europe.


Voter Nicolas Sarkozy ce n’est pas voter pour la victoire de la droite, la défaite de la gauche, c’est voter pour la France !

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LA  FRANCE

 

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Capture-d-ecran--316-.png 

J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

J'ai plus envie de l'incivisme, plus envie de la médiocrité comme religion, plus envie du manque d'ambition comme profession de foi.

J'ai plus envie de relativiser. >>>>