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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 11:54

Encore une injustice qui n'aura pas échapée à nombre de téléspectateurs, inconsciente ou réfléchie ? on ne  le saura jamais. Il n'empêche que le débat aurait eu une autre dimension , nous le déplorons vivement :

Chaque fois qu'un nouveau thème était abordé, sauf un, la parole était offerte à François Hollande ? Une aubaine, un avantage extraordinaire puisqu'il pouvait choisir le sous ensemble qui lui convenait le mieux dans le thème , lui permettait donc de prendre l'initiative, de mettre Nicolas Sarkozy en situation de devoir obligatoirement se justifier longuement ( au détriment de son temps de parole), et de présenter rapidement ses propositions sur ce sous ensemble qu'il n'avait pas choisi. De fait FH qui n'avait aucun bilan à défendre, et ne souhaitait pas détailler certains domaines de son programme , a eu la partie belle, ne s'est jamais trouvé en situation de devoir justifier les domaines qu'il ne souhaitait pas mettre sur la table.

EQUITE ? chacun appréciera.

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 09:04

 

  • 3 mai 2012
  • Le Figaro
  • LUC FERRY FER luc.ferry@luc.ferry@yahoo.fr
Non, Mario Draghi ne roule pas pour Francois Hollande!

Depuis que Mario Draghi a lancé sa bombinette dans le débat européen en affirmant la nécessité d’un « growth compact » , d’un contrat de croissance qui viendrait compléter, voire assouplir le fameux principe de la règle d’or cher à l’allemagne, François Hollande et le Parti socialiste sont sur un petit nuage. Ils ont évidemment interprété les propos du président de la BCE comme un soutien à leur volonté affichée de « renégocier » le « pacte de rigueur budgétaire » actuellement en cours de validation.

Il n’est pas sûr, pourtant, qu’ils aient raison. Car sous les mots, il y a les réalités, et elles peuvent être fort différentes selon la lecture qu’on donne du discours de M. Draghi. Comme le faisait observer l’autre jour, en bon pédagogue, l’un de nos plus brillants économistes, Nicolas Bouzou, il faut soigneusement distinguer deux types de croissance : la croissance « keynésienne » et la croissance « schumpétérienne ». La première réside soit dans l’élargissement du nombre des consommateurs, soit en une augmentation de leurs revenus qui leur permet de dépenser plus et de relancer ainsi l’économie en remplissant les carnets de commandes des entreprises.

Potentiellement, cette croissance-là est pleine d’avenir, du moins au niveau mondial, dans la mesure où l’inde et la Chine se développent à une vitesse fulgurante. Elle paraît en revanche faiblement prometteuse en Europe où nos entreprises, écrasées par la dette, les charges sociales et soumises à une concurrence déloyale face aux pays émergents dont les coûts de production sont très inférieurs aux nôtres, ne peuvent guère envisager des augmentations de salaires mirifiques.

La croissance schumpétérienne est bien différente : elle tient principalement à l’innovation, à ce que Schumpeter nommait la « destruction créatrice » : quand nos ordinateurs ou nos smartphones font l’objet d’innovations et de progrès importants, quand les connexions Internet s’améliorent, que les mémoires augmentent, que les connectiques changent, etc., les modèles anciens deviennent obsolètes, ce qui oblige les consommateurs à en acheter sans cesse de plus récents tout en « détruisant » ceux qui n’ont plus cours. Destruction « créatrice », donc.

Reprenons le fil du débat européen. Que la rigueur ne suffise pas, que la croissance soit indispensable, ne fût-ce que pour pouvoir remettre à flot nos États minés par la crise de la dette souveraine, est une évidence que Mario Draghi a parfaitement bien fait de poser sur la table. Tout le monde ne la partageait pas outre-rhin. Reste à savoir de quelle croissance on parle. L’allemagne a, depuis plus de dix ans maintenant, choisi de faire, à l’écart des relances keynésiennes, une politique de l’offre semblable à celle que réclame depuis des lustres le Medef. Là encore, ne nous contentons pas de formules et tâchons d’être concrets : les Allemands ont compris que, face aux deux milliards et demi de consommateurs potentiels que représentent les populations de l’inde et de la Chine, il ne fallait pas rester les deux pieds dans le même sabot, mais investir massivement dans la fabrication de produits dont ces deux pays auraient besoin pour leur développement, par exemple des machines-outils sophistiquées qu’ils ne savent pas (encore) fabriquer aussi bien que les Européens. Ils ont donc travaillé d’un même mouvement sur les deux croissances, élargissant le réservoir de clients et innovant sans cesse dans la conception et la fabrication de matériels nouveaux. On ne voit rien de tel dans le programme socialiste qui, sur ce point, rappelle surtout le fameux « tax and spend » (« on taxe et on dépense ») des travaillistes anglais des années 1970. Du coup, il joue essentiellement sur la croissance keynésienne, et encore, dans un seul pays, la France. Au niveau de l’europe, il semble en tenir pour une politique de « grands travaux », qui résorbera bien sûr une part du chômage à court terme, mais de manière artificielle, par le biais, comme toujours, d’emplois aidés, c’est-à-dire financés, non par l’économie réelle, mais par le budget des États. C’est là, à ce qu’il me semble, que le bât blesse.

Quel dommage que ce débat s’inscrive si tard dans la campagne, car il est crucial ! Sauf à s’en tenir aux apparences, il ne pouvait qu’aller dans le sens d’une politique courageuse de réduction des déficits et d’innovation industrielle, celle que les libéraux défendent depuis toujours contre un modèle social-démocrate qui, pour sympathique qu’il paraisse à première vue, risque fort de n’être à nouveau qu’un mol édredon. blog : www.lucferry.fr

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 08:45

 

  • 3 mai 2012
  • Le Figaro
  • José Maria Aznar

L’ancien premier ministre espagnol définit le profil du président de la République doté d’une vision d’état dont la France a besoin.

Le leadership d’un homme politique se mesure à l’aune des engagements qu’il est disposé à prendre sur lui

Ma vie politique m’a donné maintes occasions de connaître de près et de loin des dirigeants, mais je ne peux qualifier que certains d’entre eux de meneurs de premier ordre : des hommes et des femmes dotés de vision d’état, d’un sens patriotique de leur responsabilité et d’une extraordinaire capacité face aux défis. Parmi ces personnes, j’attribue à Nicolas Sarkozy une place spéciale. Je connais le président Sarkozy depuis de longues années. Il m’honore de son amitié, soit dit sans aucune arrogance. J’ai été témoin et, comme Espagnol, bénéficiaire direct de sa loyauté indéfectible, doublée de ces valeurs qui donnent leur dignité aux démocraties et leur force aux nations : la loi et la liberté. J’ai assisté à sa défense des intérêts de la France auprès des institutions européennes et mondiales, faisant preuve d’un courage et d’une ténacité infatigables.

Je suis conscient de son engagement européiste et de ses dons de leader international. Si l’expérience, le sérieux, la solvabilité et la hardiesse sont des attributs dont ne sauraient se passer les personnes qui tiennent les rênes d’un pays, ils le sont à plus forte raison dans des moments de grave crise et de profond désarroi.

Il y a quelques mois, le roi d’espagne décernait à Nicolas Sarkozy la Toison d’or, la plus haute distinction attribuée par la Couronne espagnole, en reconnaissance de sa contribution constante, effective et généreuse à la lutte contre le terrorisme de L’ETA. M. Sarkozy est depuis toujours un ami fidèle de l’espagne. Mais, par-dessus tout, il a été un très bon président de la France et il peut continuer à l’être. Pour les Espagnols, la consolidation de l’amitié entre nos deux pays et l’extraordinaire coopération qui en a été le fruit font partie des symboles de son mandat présidentiel.

Nous qui avons pris à charge la responsabilité d’un gouvernement, nous savons bien qu’il n’est pas de gestion parfaite. Nous savons qu’il faudra virer de bord, réviser ce qui est fait, tisser de nouveaux réseaux de confiance vis-à-vis des citoyens. Et, là aussi, l’expérience est précieuse. Nicolas Sarkozy a tracé pour la France une voie ambitieuse et résolue dans une Europe en crise, une trajectoire politique à laquelle il n’est pas facile de trouver un équivalent.

Les navigations difficiles se heurtent à de nombreux écueils, comme ces chants de sirène, tentateurs et séduisants qui, s’ils envoûtent les barreurs, finissent inévitablement par faire naufrager la barque. Certes, avec la crise économique, des fissures sont apparues dans la cohésion de l’union européenne et dans la confiance en l’avenir des institutions communes de la zone euro. Mais c’est pourtant cette crise qui a levé le voile et mis en évidence une facette de l’intégration européenne qui nous avait été dissimulée jusqu’à présent : les Européens, maintenant plus que jamais, dépendent tous les uns des autres. Le sort de chacun est lié aux décisions, aux comportements et aux attitudes des autres.

Or, il semble que la démagogie populiste, ressource de la gauche pour nous tirer de la crise, fasse fi de tout cela. Elle a armé de haut-parleurs les chants de sirène et les attitudes radicales. Elle insiste sur un discours qui se fait l’écho d’un souhait mais qui omet le plus important, à savoir que sans politiques responsables capables de rétablir les équilibres qui servent de base à nos économies, il n’y a pas de croissance possible. En revanche, nous pouvons espérer voir s’ouvrir la porte de la croissance, précisément en conséquence de notre capacité d’impulser les réformes et de transmettre une idée de crédibilité.

Le leadership d’un homme politique se mesure à l’aune des engagements qu’il est disposé à prendre sur lui. Et Nicolas Sarkozy se fait fort d’assumer un engagement national comme président de la République française en même temps qu’un engagement catégorique envers l’europe et le rôle central de la France dans son futur.

Comme espagnol et comme européen, je peux affirmer que rien de ce qui est français ne m’est étranger. Mon admiration pour l’histoire, la culture et la langue françaises, pour les institutions de la République, pour ses valeurs d’égalité et de patriotisme est, si besoin est, un motif de plus pour me pousser à faire cette réflexion.

Je souhaite pour la France ce que je souhaite pour l’espagne : des institutions fortes et prestigieuses, un leadership courageux et intégrateur, une économie solide et compétitive et un État-providence viable et soudé. Et, en toute logique, je ne souhaite en aucun cas pour la France et, partant, pour l’espagne, des discours démagogiques ou peu réalistes qui aboutissent à la déception et à la frustration des citoyens ; des politiques qui tendent à prolonger, voire même à aggraver, les cycles économiques négatifs au lieu de les corriger ; et des stratégies orientées vers l’isolement, qui ne contribuent guère à affermir la crédibilité d’un pays et son influence internationale.

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 08:21

 

J3 hol

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 07:59

 

  • 3 mai 2012
  • Le Figaro
  • par Paul-henri du Limbert

Il y avait bien, hier soir, face à face, un ancien et un moderne. Premier secrétaire du PS pendant onze ans, admirateur inconditionnel de François Mitterrand, François Hollande parle couramment le langage socialiste. Celui qu’on ne parle plus depuis bien longtemps en Europe. Taxation, redistribution, et le tour est joué. Ce programme a le mérite de la simplicité, mais il est probablement apparu un peu court aux yeux de nombreux téléspectateurs. C’était le rôle de Nicolas Sarkozy de rappeler à son rival que le monde s’est profondément modifié depuis que les socialistes ont quitté le pouvoir, il y a dix ans. Il faut donc changer de logiciel : oublier les emplois jeunes ou le retour à la retraite à 60 ans, oublier aussi l’idée qu’une fiscalité confiscatoire résoudra les problèmes du pays et que la dépense publique a nécessairement des vertus, oublier enfin que la France a naturellement raison contre le reste du monde. Mais François Hollande ne peut l’avouer puisqu’il est le chef de file d’une gauche française qui a plus de talent pour parler de son passé que pour imaginer l’avenir. Nicolas Sarkozy a apporté la preuve hier que, dans une élection aussi fondamentale que l’élection présidentielle, le sortant pouvait être plus moderne que celui qui aspire à le remplacer.

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 01:16

 

Marine Le Pen,  n’a donné aucune consigne à ses électeurs pour le vote décisif de dimanche prochain.

 

« Je voterai blanc dimanche et en juin bleu Marine aux législatives.

Chacun d’entre vous fera son choix en son âme et conscience, selon sa sensibilité. Ceci est votre liberté première de citoyen que j’exerce moi aussi.

Je n’accorderai donc ni confiance ni mandat » à Nicolas Sarkozy et à François Hollande.

 

On ne saurait plus clairement encourager les hésitants à s’abstenir au lieu de voter pour Nicolas Sarkozy et donc à avantager François Hollande dont le programme est aux antipodes de celui du FN.


Elle s’imagine déjà en député du Pas-de-calais, faisant du bruit pour dix dans l’hémicycle du Palais-bourbon.  Mais l’élection de Marine Le Pen et de ses proches à l’assemblée est loin d’être acquise .


 Une abominable trahison ! 


Françaises, Français qui avez voté FN lors du premier tour, vous savez pertinemment qu’au second tour en ne votant pas pour Nicolas Sarkozy, par abstention ou bulletin blanc, vous le privez des voix qui lui sont nécessaires pour vaincre, en fait vous votez pour François Hollande.

 

Vous n’êtes pas dupe, le bulletin blanc de Marine Le Pen et de ses proches est un vote de circonstance visant également à satisfaire leurs égos, leur  projet d’élection aux législatives prochaines. Après avoir tant dénigré Nicolas Sarkozy ils ne peuvent évidemment pas se déjuger . Et voilà l’intérêt général , votre intérêt, qui passe par pertes et profits.

 

En vous abstenant vous renoncez au droit le plus précieux du citoyen, vous laissez à d’autres le soin d’écrire votre histoire, celle de la France, de vos enfants.

En votant blanc, vous votez contre vous, vos idées, vos valeurs.

 

Car objectivement, vous le savez bien Nicolas Sarkozy  , a fait la presque totalité du chemin dans notre direction. Ils vous a, il nous a entendus. Les engagements qu’il a pris sont conformes à nos revendications au regard : de notre identité, nos racines chrétiennes, nos valeurs républicaines, la laïcité, l’immigration, la sécurité, la justice, nos frontières, nos retraites, la fraude, les injustices sociales (RSA, Minimum Vieillesse,..), la formation pour tous, notre économie,….

En votant Nicolas Sarkozy nous sommes assurés de la mise en place sans tarder de toutes ces réformes en usant du référendum si nécessaire, nous ne serons pas attaqués par les marchés financiers, nous ne connaitrons pas la récession, les relations internationales pourront se poursuivre sans perte de temps.

 Voter dimanche François Hollande après avoir voté FN au premier tour, c'est rejoindre Marine Le Pen dans la trahison. Mais il faut de tout pour faire un monde. Espérons que ces électeurs adeptes du grand écart ne  seront pas nombreux ou mieux inspirés.


 Avec François Hollande a la présidence, c’est : la France attaquée par les marchés financiers, la régularisation des sans-papiers, le droit de vote des étrangers, la persistance des frontières « passoires » , la non réduction des flux migratoires, l’augmentation des dépenses publiques, des impôts, la remise en cause de la justice , l’intensification du communautarisme, l’avancée de l’Islam ( 700 imams, Tarik Ramadan,.. l’ont soutenu) ,… En quelques mois la France sera irrémédiablement exsangue, la Nation aura atteint un  point de non retour. Et bien évidemment Marine Le Pen n’aura rien pu faire, elle sera peut être députée, joie pour elle, mais c’est une certitude nous serons dans la galère ( M….) pour longtemps.

 

 

Ne pas voter Nicolas Sarkozy ,

par abstention ou vote blanc,

c’est participer à ce désastre.

Nous ne voulons pas de cette galère,

pour nous, pour nos enfants !

 

Françaises , Français


il faut voter Nicolas Sarkozy ! 

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 17:46

 

A quelques heures du débat, le terrible aveu de François Hollande par la bouche de Jérôme Cahuzac.

La vérité ne sort pas que de la bouche des enfants... En avouant que ''François Hollande ne pourra réaliser la totalité de son programme", le très proche conseiller et inspirateur du programme économique du candidat socialiste, Jérôme Cahuzac, a tout dit.

Le programme de son candidat est inepte car il ne serait tout simplement pas tenable. Alors que nous traversons encore une crise économique mondiale sans précédent et que la croissance est encore fragile, il ne serait pas tenable de dépenser sans compter et de creuser le déficit en toute impunité. Au-delà des comptes publics, les premières victimes en seraient les Français eux-mêmes dans leur pouvoir d'achat, qu'il s'agisse de nos retraites, de nos salaires ou de notre épargne d'aujourd’hui pour nos enfants demain. 

Alors que notre pays doit se désendetter pour retrouver la maîtrise de son destin, il ne serait pas tenable d'embaucher des dizaines de milliers de fonctionnaires et de revenir sur la règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.    

Mais l'aveu va encore plus loin. Il ne se résume pas aux chiffres, il porte sur les valeurs.

Alors que nos concitoyens aspirent à une Europe des frontières plus protectrice, il ne serait pas tenable de prôner une régularisation massive des clandestins.

Alors que notre pacte républicain est un acquis fragile, il ne serait pas tenable de vouloir accorder le droit de vote et d'être élu aux immigrés aux élections locales.

Alors que la lutte contre la délinquance est un combat permanent et collectif, il ne serait pas tenable d'abroger les peines planchers.

Par la voix de Jérôme Cahuzac, François Hollande admet, aujourd'hui, qu'en plus d'être irréalisable économiquement, son programme est dangereux socialement et absurde politiquement. Cet aveu d'échec vient certes bien tard, mais comme dit le dicton, à quelques heures du débat et à quelques jours de l'élection, mieux vaut tard que jamais...

 

 

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 17:24

 

François Hollande trompe les Français 

 

 

A lire avec attention !

 

J2 jpeg V1

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 15:34

Ce soir, Nicolas SARKOZY sera face à François HOLLANDE.
Plus que jamais il a besoin de savoir que vous êtes avec lui ! 



Ce soir, Nicolas SARKOZY va débattre projet contre projet 

ou plutôt idées nouvelles contre vieilles recettes du passé, avec le candidat socialiste. 


Enfin un combat à armes égales : un contre un ! 

C’est le point culminant de cette campagne du deuxième tour, c’est le moment crucial pour

la France, celui où François HOLLANDE ne pourra pas s’esquiver, ne pourra pas cacher la vérité,

ne pourra pas masquer les incohérences et la faiblesse de son programme. 

Ce face à face, Nicolas SARKOZY l’aborde avec enthousiasme, force et détermination.

Comme il le fait depuis le premier tour, il y met toute sa force, toute son énergie,

parce que c’est sa nature et que c’est son devoir. 

Au cours de ce débat, pour faire gagner la France forte, il continuera à porter nos valeurs

et nos engagements : pour le respect de nos frontières, pour la lutte contre les délocalisations,

pour la maîtrise de l’immigration, pour la sécurité de nos familles, pour la valorisation du travail,

de l’investissement, de l’innovation et pour la croissance. 

Depuis le début de la campagne, vous êtes aux côtés de Nicolas SARKOZY. 

Ce soir, il a besoin de savoir que vous êtes là pour l’encourager

afin de le mener à la victoire dimanche prochain.

 
Oui, il a besoin de votre aide et de votre engagement indéfectible à ses côtés.
 

Merci pour votre aide et pour tout ce que vous faites pour soutenir Nicolas SARKOZY.
 
 
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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 14:17
  • 2 mai 2012
  • Le Figaro
  • SOPHIE HUET
Des électeurs de Le Pen ou de Bayrou au premier tour ont partagé l’enthousiasme des militants UMP.


« On est tous là pour que Sarko passe ! »

DROITE Il y a les inconditionnels, les passionnés, les curieux, les inquiets et les anti-hollande. Beaucoup sont venus en famille, ou entre amis. « La France, ce n’est pas la CGT », s’exclame Louise, une retraitée de 67 ans. « J’habite près de la Bastille, et tous les ans je vois passer le défilé très politisé du 1er Mai, avec les drapeaux rouges. Je suis contente d’assister à mon premier meeting, avec des gens de droite. » Armande, 50 ans, cadre de santé dans un hôpital public, ajoute : « Le 1er Mai n’appartient ni aux syndicats ni à Jeanne d’arc, mais à la France. »

Timide, Gwilherm, un élève de terminale, confie qu’il a voté Marine Le Pen au premier tour « parce que je suis contre le mariage homosexuel et contre l’euthanasie ». Le 6 mai, il votera Sarkozy « pour les valeurs qu’il défend » . Patrice, 60 ans, directeur d’entreprise, a aussi voté Le Pen au premier tour. « Je viens soutenir Sarkozy au second tour avec des semelles de plomb, parce que c’est le moindre mal », explique-t-il. Sa femme, Fabienne, est plus mesurée : « Je suis sarkozyste mais j’ai voté FN pour les valeurs morales. Je reviens vers Sarko parce que Hollande, c’est la catastrophe. »

Des électeurs de François Bayrou sont aussi là. Pierre, médecin, 59 ans, a voté

pour le candidat centriste le 22 avril « parce qu’il veut réduire la dépense publique ». Il assiste lui aussi à son premier meeting, bien décidé à voter Sarkozy le 6 mai car il trouve « l’alternative sinistre et dangereuse ». Thomas, un lycéen de 18 ans, a mis son premier bulletin dans l’urne en faveur de Bayrou. « Mais il s’exprime mal. Et je sais que Sarkozy a la carrure » , analyse-t-il.

Les inconditionnels sont légion. Suzanne, une commerçante de la Loire, a fait le déplacement avec des amies. « On est tous là pour que Sarko passe », résume-t-elle, en regrettant que le président-candidat « n’ait pas été plus à droite sur les questions d’immigration ». Elle ajoute : « À la cantine d’une école privée, on a refusé du poisson à ma petite-fille, car il était réservé aux enfants musulmans. Où on va ? » Sa copine Maryse, une secrétaire à la retraite, ajoute : « Je ne veux pas vivre sous la loi islamique. »

Être le meilleur, mercredi

Leur voisin, Richard, 32 ans, est un chrétien d’origine turque, dont les parents, réfugiés politiques, sont arrivés en France en 1980. « La France, c’est ma patrie. Elle m’a tout donné. Je ne veux pas que l’on donne le droit de vote aux étrangers aux élections municipales car cela va créer des communautarismes », souligne ce responsable de service dans une compagnie d’assurances. Venus en couple, Dany, 68 ans, ancienne fonctionnaire, et Maurice, 72 ans, commerçant retraité, assistent à leur premier meeting, « très émus ». « Sarko parle avec son coeur. Il a fait des réformes qui n’étaient pas populaires. Mais il n’a pas assez exposé son bilan », regrette Dany. Une « inconditionnelle » au même titre que Sophie, une styliste de 54 ans, venue au Trocadéro avec son vélo couvert de fleurs. « C’est la dernière chance. Sarko n’a pas assez mis en avant ce qu’il a fait de bien. Mais on est là pour lui dire bravo. »

Paul, un auto-entrepreneur barbu qui roule sa cigarette, a plutôt un look de gauche mais se revendique « sarkozyste à fond la caisse ». « Les socialistes, cela fait un an qu’on les voit à la télé. On en est gavés », lâche-t-il. Michel, architecte d’intérieur, salue dans son champion « une volonté de fer, un pouvoir d’absorption des coups inégalables ». « On est tous là pour l’encourager à être le meilleur, mercredi soir, dans son débat face à Hollande », conclut Eleonore, venue de Marseille.

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J'ai plus envie de me croire à Kaboul dans ma ville,

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