Ce jour à Notre-Dame de Paris, les « femhaines » se sont livré à une nouvelle abjecte provocation antichrétienne. Pourquoi se gêneraient-elles ? Les pouvoirs publics ne s’opposent évidemment pas à leurs débordements de pauvres filles déjantées, peut-être hystériquement fanatiques pour certaines, mais plus vraisemblablement très grassement payées pour d’autres. Et on a même vu que ce sont ceux qu’elles assaillent qui sont dénoncés comme provocateurs. Ces « femhaines » ne sont en fait, puisqu’il n’y a plus désormais de sexe qui vaille, que les hommes de main des milliardaires pervers du lobby LGBT. Elles sont sans cesse approuvées, encouragées, excitées par Caroline Fourest, la grande diva des médias homocratiques heureusement bien moins dévêtue qu’elles pour sa santé et l’esthétique du spectacle.L’AGRIF, dont les dirigeants chrétiens ne confondent pas l’esprit de paix et de tolérance avec l’acceptation passive des pires injures faites, a chargé ses avocats au Barreau de Paris de diligenter la procédure qui s’impose contre ces auteurs de la haine antichrétienne. Au demeurant on n’ose imaginer ce qui se produirait si des mêmes salopes fourestiquement encouragées allaient se produire pareillement dévêtues dans une mosquée, une synagogue ou un temple hindou voire même une loge maçonnique. On finira bien par s’apercevoir que la patience des chrétiens a aussi ses limites. Ne lit-on pas dans l’Évangile : « Malheur à ceux par qui le scandale arrive ».L’AGRIF exige également du gouvernement que soit dissoute cette organisation propagatrice d’une haine incitatrice à la guerre civile rappelant les heures les plus noires des hystéries anti-religieuses.
Publié le 13 février 2013 à 16:00 dans Brèves
Libération, une feuille de chou locale des arrondissements centraux de Paris, jamais en retard d’une bassesse, enfonce aujourd’hui le clou de son conformisme le plus rance dans ce qu’il croit être le cercueil du catholicisme français. Après une série de supputations gratuites sur les motifs d’un acte, la démission du pape, auquel, parce qu’il les dépasse de toute son humble grandeur, ils ne peuvent attribuer que de mesquines motivations, voilà nos gazetiers qui s’en prennent directement à Dieu. « Dieu démission » exigent-ils maintenant pour, dans un même mouvement et sans craindre la contradiction, stigmatiser la volonté de « faire la loi » de la religion catholique et moquer sa perte d’influence dans notre pays. Et Libé, ce journal de vieux qui se prennent pour des jeunes, de s’attarder avec une joie mauvaise sur la hausse rapide de l’âge moyen des prêtres et sur toutes les autres difficultés, réelles, de l’Eglise de France.
Pourtant, j’ai bien peur que dans son analyse de la situation de l’Eglise catholique, nos néo-échotiers paroissiaux ne manifestent le franco-franchouillardisme le plus étriqué. En effet, s’il ne fait pas de doute que le catholicisme est en perte de vitesse en France (quoique dans certains milieux, et pas dans les moins cultivés, j’ai l’impression qu’un regain d’intérêt se manifeste ces derniers temps, mais ce n’est qu’une impression), la situation globale est bien différente. Depuis plusieurs années, le nombre de catholiques dans le monde est stable en pourcentage de la population mondiale à 17,5% et ne cesse donc d’augmenter. Et le nombre de prêtres, d’évêques et même de religieux (masculins) non prêtres augmente aussi, notamment en Afrique et en Asie, les régions du monde qui connaissent la croissance économique et démographique la plus importante.
À ce stade, on aurait beau jeu de brandir sous le nez de nos amis de Libé la poutre qu’ils ont manifestement dans l’œil. Car les troupes du journal du calembour obligatoire sont bien maigres et continuent de s’éclaircir. Il y a environ 12 000 fois plus de catholiques dans le monde que de lecteurs de Libé. Et son lectorat s’est encore effondré en 2012, malgré des unes et un ton toujours plus racoleurs. Il n’y a que le nombre de ses divisions (internes) qui ne cessent de grandir. À ce rythme-là, le journal qui a cru faire naguère une fois pour toutes tourner ses rotatives dans le sens de l’Histoire sera bientôt rattrapé par un quotidien confessionnel aussi obsolète que « réactionnaire » et qui, pourtant, seul en son genre parmi la presse généraliste française, augmente tranquillement sa diffusion. Ce journal s’appelle La Croix.